30 ans, et toujours la même rengaine.
Trente ans. Voilà trois décennies que Jacques Alain Benisiti est aux commandes de notre ville. Trente ans à répéter les mêmes promesses, à recycler les mêmes recettes, à improviser les mêmes effets d’annonce. 30 ans après, le constat est implacable : notre ville souffre d’un profond retard dans la gestion des services publics, les infrastructures, les espaces verts, les commerces et l’animation de la vie locale.
Pendant que les besoins des habitants explosent, la seule réponse de la municipalité reste… la bétonisation.
À chaque coin de rue, de nouveaux immeubles, des mètres carrés empilés sans cohérence ni vision d’ensemble. Les écoles débordent, les équipements manquent, la circulation devient infernale, la qualité de vie recule. Le tout maquillé à coups d’inaugurations, de festivités tapageuses censées faire oublier le fond : la ville est gérée comme un projet immobilier, alors que nous avons besoin d’un projet de société.
A l’approche des élections municipales de mars 2026, la dynamique a changé. De nombreux Villiérains nous rejoignent.
Des citoyens engagés, des forces politiques progressistes, des acteurs associatifs, des habitants lassés de l’inaction et du clientélisme. Ensemble, nous construisons un véritable projet d’alternance pour 2026.
Nous voulons une ville plus humaine, verte, vivante, où les logements ne se construisent pas sans infrastructure, où l’on respire, où l’on vit, où l’on se rencontre en toute sécurité. Nous voulons redonner du sens au service public local : l’éducation, à l’écologie, aux mobilités douces, à la démocratie locale, à la culture, à l’économie de proximité.
L’alternance s’organise, avec force et conviction.
Et elle ne viendra pas d’une énième promesse creuse, mais de celles et ceux qui aiment Villiers et veulent enfin lui offrir un avenir à la hauteur de ses habitants.