Béton à tout prix : la frénésie immobilière d’un maire à bout de souffle

À chaque campagne électorale, c’est la même rengaine : “les constructions, c’est fini !” Et pourtant dès les élections passées, elles reprennent de plus belle. Programmes massifs sur les grands axes, patrimoine de la ville vendu comme au stade Jules Rimet, … le maire bétonne Villiers morceau par morceau, sans vision d’ensemble, sans respect pour notre ville, et sans jamais consulter les habitants autrement que sur des détails.

Cette frénésie immobilière, pilotée depuis le bureau du maire en place depuis 30 ans, a transformé le visage de notre ville, au détriment de son patrimoine naturel et architectural. Elle détériore profondément notre cadre de vie. La densification devient synonyme de dégradation de la qualité de vie.
Et sur le plan écologique ? Le constat est alarmant. Chaque programme immobilier grignote un peu plus les dernières poches de nature, les respirations urbaines dont nous avons tous besoin. Alors que le dérèglement climatique exige des villes résilientes, plus vertes, plus sobres, Villiers suit la logique inverse.
Pendant que les promoteurs prospèrent, les habitants paient le prix fort : bruit, chaleur, béton, incivilités.
Le “tout logement” n’est pas une politique. C’est une fuite en avant. En 2026, nous devons tourner la page et engager une nouvelle étape pour Villiers : un urbanisme raisonné, écologique, pensé avec les habitants, qui mette la priorité sur les infrastructures et les services publics, qui protège notre patrimoine, nos arbres, notre santé, notre futur et celui de nos enfants.

Villiers au quotidien